...de glas prennent possession des fines particules de ce que vous pensiez être votre air.
C’est au cœur d’une nuit sans étoile que le clocher corrompu ayant rendu son âme se mit à vibrer d’une symphonie disgracieuse, annonçant son funeste présage. Le temps se résorbe sous vos pas, la brume se lève et fige l’heure dans le cadran de vos montres, sur le haut du beffroi… les aiguilles se sont interrompues. Il existe un monde où l’aube ne se lève jamais. Tapies dans l’ombre, les créatures de l’univers se rassemblent. À jamais condamnées à errer ensembles. Détrompez-vous, ces terres ne sont pas vôtres, elles sont empreintes de magies, de sorcelleries et de mutineries. Perdue est la clé de l’équilibre de ces deux mondes : quand le réel fusionne avec l’illusion, qui peut prétendre à une quelconque réalité ?